Quelques couteaux

Un Taramundi ? C'est bien un du genre ?





C vraiment un couteau premier prix, il coupe correctement malgré son 420 mais sans blocage ...j'ai du re-mater le rivet paske la lame qui tombe sur les doigts c pas top

Un retour au bon sens (je ne suis pas sûr que le bouledogue soie un couteau sensé... ) . Acétate (écaille de tortue), en acier au carbone et maillechort.

(A suivre)

il est peint ce manche ?

Pas fan de ce style de couteau d'habitude mais en trapu comme ça j'aime bien.

-Pour Drassij:
J’aime particulièrement ceci avec la lame gravée y peintée (une scène de taureaux ?), corne, avec quatre tranches fines en laiton... Magnifique. Les deux sur la gauche méritent un commentaire apart : jusqu'à la décennie des années 80 du siècle dernier, en passant par la province d’Albacete, vendeurs  de couteaux sont montés à bord  des trains et offraient  des couteaux comme les tiens au voyageurs (ceux-ci ne  coupent pas mais els servaient à piquer les olives...). Je l’ai vu plusieurs fois. Pour les voyageurs, le plus part paysans avec la memoire encore de la terre, il  était quelque chose courante. Aujourd'hui, il serait impensable... Merci pour la photo.

-Pour Pat:
Les couteaux de Taramundi (un village situé dans la région des Asturies, dans le nord de l’Espagne) sont très copiés, notamment par les chinois (mais pas seulement) ; Il faut être prudent (cet avis n’est pas pour vous, car je sais que vous êtes un expert). Concernant le couteau bouledogue, ceci n’a pas été peint ; J’ai édité la photo car il faisait très sombre ; le résultat n’a pas été bon. De toutes les formes, la couleur de la coquille synthétique est particulièrement sombre. Ah, ton couteau jaune est sympa; moi aussi, j’apprécie cette couleur parce que en coutellerie (sauf le buis) c'est rare.

Merci à tous pour les commentaires.

Merci de ces renseignements , au besoin on prendra conseil pour nos futures acquisitions .

J’ai aussi quelques couteaux comme les tiennes (les deux à gauche),  achetés pour nourrir la mémoire. Ces petits couteaux ont été conçus, à mon avis, pour percer, pas pour couper (en espagnol, ils sont connus comme "estilete", outil  à piquer). Je suis sûr que vous n’avez pas besoin  de trop  de conseilles en matière de coutellerie. Alors, je vous remercie, drassij, pour votre courtoisie. Je l'ai bien apprécié.

De l'os... comme autres bouledogues. Et autre  petit pas. Maintenant, nous devrons prendre une nouvelle direction...

Une lame large mais avec le tranchant rectiligne, un couteau ventru... mais avec les bouts inégales. Je crois qu’il n’est pas la bonne mannière...si on veut arriver au "vrai" bouledogue.

Il s’agit d’un modèle traditionnel appelé « Jerezano » (de Jerez), qui n’est pas fait ou le nom l’indique, mais à Ciudad Real et Albacete. Normalement, ce type de couteau très rustique est à deux clous; ici Francisco Valencia a mis un cran d' arrêt.

Avant de continuer, nous devons faire un récapitulatif de la  dernière  étape.

Sacrée collection! Chapeau! C'est bien d'avoir un fil conducteur dans une collection...

Le pas suivant.

Le Whaler, un bouledogue musclé de la maison américaine GEC. Ébéne, maillechort, acier au carbone  (ressort aussi). Un de mes préférés.  Rapport poids/puissence très favorable, comme celle d'un Chevrolet Camaro...






Merci Alex.

Rigolo ce ptit gros, par contre les ricains sont vraiment pas champions pour donner de belles lignes à leurs lames.
ça contraste avec le manche qui est bien sympa j'trouve.

C'est un "patern" traditionel; la maison GEC a fait un "facsimil". La lame de ce modèle est, au moins, disproportionné... J'aime le côté historique du couteau.
Voilà une autre, mais à deux lames:

C’est le même couteau que ci-dessus, mais maintenant la lame est positionnée à l’extrémité opposée.  Je pense que ce couteau fanfaron pourrait être défini comme « le bouledogue-violon ».

Une declinaison diférente; cette fois sans mitre inférieure, les côtes en os et trou pour dragonne...

Voilà le même "bouledogue-violon" ("bouledon") de la maison GEC; mais en ébène.

Le quatième "violondogue" de la maison GEC, ici en frontier bone (?). Un très gros ressort, une très grosse lame, et, selon les unités, un nerveux ou douce mecanisque.

La recopilation des quatre "violondogue".

Nous avons montré:
-Les bouledogues hispaniques
      -ceux de Rafael Wízner (avec le guillochage "éléctrique" et les mitres comme des chapeaux).
      -ceux de Francisco Valencia (l'experimentation par rapport aux couleurs, les inclusions, l'allure américaine...).
-Les américains
      -Les GEC "whaler" (la disproportion).
      -Les GEC "violondogue"
-Les Issard (en avance).
(À suivre)

tu fait un chenil
sans plaisanter une jolie brochette

Belle collection de petits couteaux , bouledogue et autres

Rad va nous faire une jaunisse

Pourquoi de si grosses marques sur les lames !!!!!! surtout les Ricains

Merci, Routu et Zeb.

Mais je voudrais une chenille plus grande...   :

Et oui, trop trop grandes les marques... J'aime mieux les lames nues. Mais, chez les americaines c'est pratiquement une chimère...

Un autre pas aux États Units, les whalers, les "violondogue" (lumber jack et roughneck) ont passé et les formes plus canoniques reviennent: le sunfish ou l'elephant toenail.

J'en ai un nouveau en vue , mais ce n'est pas mon tarif...
"Ancien très rare couteau de poche pliant"

C'est une casualité. Je l'ai vu depuis quelque temps, et la tarif (je la connais aussi...) je la trouve aussi un peu élévée (peut être, á la main il soie magnifique... lame gravée à l'acide, la taille, un indice à propos de l’artisan qui suscite l’intérêt...). Pour le moment mon interet est dormi. Par ailleurs, drassij, quand je finisse la série Boulegue, je vais mettre quelques petits couteaux comme les tiens.

Il s’agit d’un nouveau jalon sur le chemin du Bouledogue. Alors que la maison GEC  fait des modèles plus traditionnels (cette remaquille les paterns de tla radition d’Amérique et d’Europe centrale), la maison Case est fidèle à elle-même. Cela couramment utilisé l'acier inoxydable et en continu combine en  un catalogue fermé  de modèles (il suffit de changer la matière ou la couleur de la poignée, l'écusson incrusté ou la gravure des lames). Le tranchant-maison des GEC est médiocre, celui des Case est optimale.

Un autre bouledogue americain. Voici un exemple du procédé de la société Case: la variation d'un modèle prenant seulement la couleur ...

La fin du cercle: les Bouledogue de la maison Issard . Le premier est arrivé il y a quelques semaines: deux éléments, beliére, bois de palissandre et la en acier inoxydable. La fin est à l'origine.  

Chacun a ses particularités, la forme légèrement différente ...

(Une vieille navette Issard pour voir la différence de largeur).





Je devrais faire à nouveau ce chemin circulaire; peut être on trouvera de nouveaux jalons. Je pense que je devrais insister sur Issard  (bois de châtaignier, bubinga, bélière ...). S'il y a de nouvelles je les mettrai.