divers

Ce que j'ai fait ce dimanche :

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Amélioration de "l'atelier" j'ai récupéré une chaise haute pour m'assoir quand je suis du côté du plan de travail des machines, et un meuble pour ranger des trucs dans le seul coin qui restait vide.

j'ai percé à la cloche un épais morceau du meuble aux machines pour faire passer tous les fils électriques :



J'ai nettoyé les couteaux ateliers, passé au framéto les objets trop rouillés.


J'ai fabriqué une séparation pour pas crader avec la pate à polir :


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Classé et rangé tout ce qui est susceptible de m'aider à créer des "bijoux" (ma fille en veut un) sur mon pupitre :


Ici les chutes que j'ai gardé spécialement pour la confection de pendentifs, crottoQ.... :

(bois, nacres, corne, synthétiques)


Ici les différents sujets  :



Ici les différents métaux :
plaques alu, cuivre, laiton, mokume, fils, clous tapissiers :



Ici les différentes fraises (4 boites) et peintures (j'utilise aussi des vernis à ongle) :




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Commencement d'1 Custom d'un couteau SeGa, les plaquettes en bois stab ont pété partout alors ce sera du Cocobolo (enfin si je le termine un jour) :
Sur la photo j'ai déjà refait les formes de la lame et du Q :

sympa tout ça, et j'aime beaucoup le filtre de hotte comme séparation

Tu as l'oeil

Je récupère tout ce qui passe, un collègue allait jeter ça, du coup il m'en reste un 2eme.
C'est léger, et au prix ou est l'aluminium je peux tjs récupérer les grillages.

Dans le même genre : J'avais 2 pots en étain très épais et très lourds : Le petit n'était pas stable, j'allais le jeter, quand en ponçant le grand auquel j'ai redonné redonné du neuf (je l'ai utilisé pour ranger mes stylos, etc) j'ai découvert que dessous c'était du cuivre pur (à l'époque il coutait 10 fois moins cher qu'aujourd'hui)....J'essaierai de le scier et de le déplier un jour pour en faire qq chose.

Voilou, 1er pendentif, simple (reste à faire le passant) :

Nacre abalone rivetée/collée sur ce qu'il reste des anciennes plaquettes du couteau "Dauphin" (bois stab/teinté)
inserts acrylique orange.



Ce qui est chiant c'est que toutes mes sections sont carrées donc fo passer du temps à adapter.

Démontage, collage, perçage (3 diamètres différents) et mise en forme du cocobolo

ça avance, vivement la suite

Sympa ton petit atelier Pat, et je suis aussi impatient de voir la suite

C gentil, mais j'ai déjà fait mon changement des formes, donc ça sera juste un montage classique, rien de révolutionnaire

Fodrait que je retrouve une photo de SeGa ce modèle avant modifs (j'en ai pas) mais c vraiment pas gagné.

Edit : Non : J'ai écumé le net mais yen a pas.
Elle est surprenante mais c'est clairement pas la ligne la plus belle de SeGa et je pense qu'il a pas du en faire bcp des comme ça.
Je n'ai pas changé l'idée, juste essayé de rentre ça + fluide, + équilibré, pour moi c mieux mais bon.

Dernières retouches à la ligne de la lame, elle est ok.

Ressort lissé (il avait morflé au changement de formes)

Plaquettes affinées et arrondies, le couteau tombe à 75 grammes et on garde une épaisseur de plaquette généreuse de 7mm pour pour compenser le manche étroit, bonne ergonomie.
Lustrage..Le coco est beau


Tout est ok..reste plus qu'à assembler la bestiole...Détremper les clous etc

Sympa ça . reste plus qu'à investir un poil dans du fil d'argent 925 (un vendeur en grèce sur la baie en propose à bon prix) et te mettre un peu à la brasure argent et zou il y a un petit coté encore plus classieux et précieux . (l'argent se rivette bien aussi au passage ))

Merci Ben j'y penserais

Pour l'instant pas de photos (...) Mais je met du texte pour ne pas oublier de les poster quand j'aurais une connection.

J'ai effectué des modifications sur :
Le couteau Viking 
le Katharos 
un Masunin (Italie)
et là je vais m'attaquer à un Taramundi (Espagne)

J'ai failli oublier ces petites choses.


VIKING
Avant :

Pendant :

Après :



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KATHAROS :
Avant :

Pendant :

Après :




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TARAMUNDI :
Avant :

Pendant :

Après :

C maintenant que je regrette d'avoir revendu ma polisseuse car je me suis mis en tête de restaurer un revolver  Lefaucheux de 1854 (c'est Guillaume Antonniucci qui m'a refilé le virus)

J'ai eu une polisseuse pendant 25 ans mais à la retraite je l'ai pas gardé , moi aussi je m'en suis séparé

( elle s'appelait Sabine )

Voici donc le Lefaucheux de 1854, revolver du patrimoine français.
Parmis tous les révolvers à broche j'ai flashé sur son look rétro et en courbes.
Parfaitement fonctionnel et sans jeu.
Mais si l'aspect général est bon, il y a énormément de travail sur cet objet, et compte tenu des coins et des recoins c'est infiniment plus complexe qu'un couteau.



Sur la face gauche on peut vite voir que la portière de barillet comporte une oxydation trééés profonde.



Aucune autre pièce n'est dans cet état donc je penche pour un remplacement de cette pièce par une plus ancienne.
C'est un petit défi pour moi qui adore enlever beaucoup de matière sans que cela se voie :


Malheureusement ce n'est pas ce qui va me prendre le plus de temps : Le bronzage a été entièrement enlevé et des traces parfois très profondes apparaissent partout.
En voici un détail mais elles sont beaucoup plus profondes sur la baguette d'éjection.


Le canon fait 15cm et est bien gras ce que je trouve esthétique et c'est tant mieux car il est fortement buriné.

La mire a été limée pour du tir de "précision" (par la suite sur le chien a été pratiqué une encoche, car il faut savoir qu'à l'époque on tirait sans viser)
Le 12mm à broche est équivalent à du 44 mais même si techniquement nous étions en avance sur les américains avec une cartouche métallique, celle ci était courte et donc peu puissante (en terme de joules c'est l'équivalent d'un 22LR)

La mécanique est une petite merveille d'ingéniosité (et les belges l'ont d'ailleurs copié même si leur mécanique n'est pas aussi fluide) et le revolver peut se démonter en trois morceaux (canon/barillet/carcasse) sans outil

J'aime l'acier mais celui ci est ancien et donc pour ne pas que tout mon boulot soit "flingué" par de la rouille dans quelques années je vais rebronzer à froid le tout une fois terminé.
Je voulais changer les plaquettes (je l'ai déjà fait sur un autre) pour de l'ivoire reconstitué mais je préfère finalement laisser celles d'origine :
Elles sont étonnamment en très bon état : pas de cassure, ni de félure.
Du noyer qui traverse 160 ans avec ce résultat mérite d'être gardé. Bien sur à certains endroits il a gonflé de quelques millimètres mais il sera facile de le recaler sur l'acier.

Voilà il est démonté.

Le numéro de série a du être effacé, par contre sur toutes les pièces il y a le (même) numéro de fabrication mais je ne sais pas si je peux obtenir des infos avec ça.

Pat conserve le en l'état dans son jus
il est magnifique
belle pièce de collection J'adore 

Pat conserve le en l'état dans son jus
il est magnifique
belle pièce de collection J'adore 

Merci.

Je l'ai acheté presque pour m'amuser à le restaurer

il y a encore du taf c'est une très belle pièce !

Merci, j'en chie depuis hier soir (torticolis) :
J'ai réussi à refaire la porte (gros travail), la baguette, le cul, et une partie du canon. (photos demain).

Me reste à faire l'autre partie du canon, la carcasse (le plus dur avec 2 millions de recoins) le barillet (il a beau ne pas avoir de relief il a l'air très chiant à raviver), et les plaquettes.
Et après saut dans l'inconnu on bronze le tout.

Belle pièce , j'espere que tu pourras le retaper en gardant un peu de patine .

Pas le temps de bricoler ni de faire des photos aujourd"hui (invité) alors voici le peu d'info

le cul après du grain 40 et 250 il reste encore bcp trop de relief :



Donc uniquement pour cette pièce j'ai utilisé le combiné ponceur (je déconseille aux débutant c tout en rondeur fo le coup de main) étant donné que 1mm en moins sur 1cm ça jouait en rien :

Voici la portiere (voir la photo initiale plus haut) qui m'a demandé du taff (obligé d'y aller en douceur pour garder les courbes d'origine) un travail de sculpture comme je les aime :

Hier j'ai presque fini le travail sur l'acier : Je n'ai pas voulu une finition tout à fait miroir pour ne pas trop contraster avec les reliefs du temps :
Au lieu d'utiliser un feutre avec la pâte à polir j'ai donc utilisé une frotte mélange coton/osier qui laisse des micro-rayures.

Aujourd'hui j'ai acheté l'acide Oxalique et la cire à céruser (pas donnés).

Les plaquettes sont remises en forme et sont maintenant parfaitement adaptées à la structure métallique, mais pendant le traitement elles ont reçu de l'huile antirouille :



Donc la 1ere étape consiste à un ponçage fin et un passage dans l'acétone pour éliminer la graisse.

Elles sont passer à l'acide oxalique sur la photo?

Non elles sont huilées sur la photo.

Les voici après le ponçage et le dégraissage (et avant l'acide) :